Le plus grand plaisir de notre équipe de guides et d’accompagnateurs est de vous livrer tous leurs conseils, itinéraires et bons plans. En leur compagnie, vous avez accès à un Maroc authentique, fait de paysages époustouflants, fort d’une richesse multi-culturelle, cousu de rencontres extraordinaires dans les endroits les plus insolites… Rien de tel que des spécialistes de chaque région, toujours en parfaite connaissance du terrain pour vous permettre de sillonner un pays en toute confiance.
NOS EXPERTS
Nos experts sont à votre disposition pour toute question sur le maroc
Pierre-Yves
Amoureux de nature et d’aventure, Pierre-Yves aime autant le silence de la randonnée que les sensations fortes du tout-terrain. Agent de voyages depuis de nombreuses années dans son pays d’adoption – et créateur du camp lodge Terre des Etoiles dans le désert d’Agafay non loin de Marrakech – , il s’est progressivement entouré d’experts aussi passionnés que lui, additionnant les connaissances du désert, de la montagne, de l’océan… Puis celles du voyage d’affaires, de l’incentive, du Rallye ou encore, du bivouac en plein désert.
Avec l’équipe de Point Voyages, il met à la disposition des voyageurs son expertise du pays, son réseau tissé de rencontres, et surtout, sa passion : »Depuis 20 ans, je n’ai cessé d’arpenter les zones désertiques, les montagnes et les grands espaces de l’arrière-pays marocain, forgeant au fil du temps une véritable relation amoureuse avec ce territoire et ses habitants. Je veux permettre aux gens de vivre le dépaysement et les sensations exceptionnelles que procure la nature de ce beau pays ».
Fadwa
Originaire de Marrakech, Fadwa a découvert le Maroc avec sa famille puis avec son mari, avec lequel elle partage le goût de l’aventure. Elle est allée partout : le nord, le sud, les villes impériales… « je suis même partie de Marrakech à Dakhla en voiture, un voyage inoubliable qui m’a fait découvrir de très beaux paysages. »
Sa région préférée ? “La région du Nord et surtout Chefchaouen qui est un bijou ancré dans les montagnes, petit village paisible aux murs peints blanc et bleu… Après il y a le Sud, les dunes de Merzouga et l’erg Chegaga …
Le Maroc est un pays très riche culturellement, avec une très grande diversité de paysages : montagnes, désert, plaines, plateaux et oasis… et l’accueil chaleureux des gens !”
Après une licence en tourisme, elle fait carrière dans cet univers qui la passionne : « Les métiers du tourisme permettent de relever toutes sortes de défis qui demandent une grande polyvalence. Chaque journée est différente et varie en fonction des gens que vous rencontrez… Aussi le tourisme nécessite de la créativité à revendre, que ce soit pour élaborer un menu, organiser un événement ou pour planifier un circuit.”
Hicham
Hicham a toujours travaillé dans le voyage. Natif de Rabat, capitale du Maroc, il s’est formé en gestion Marketing et commerce international à Marrakech.
A ce moment-là la ville fait beaucoup d’efforts dans le tourisme et il voit là une chance de s’épanouir et d’évoluer. « Travailler dans le tourisme, cela m’a ouvert l’esprit, je me suis frotté à d’autres cultures, d’autres mentalités. ».
En 20 ans d’expérience dans le tourisme, il a tout fait : réservation, gestion mais aussi accompagnement sur le terrain, que ce soit en individuel ou en groupe.
Il conseille à tous une région plus vierge et moins fréquentée qui relie l’Anti-Atlas au Haut-Atlas en 4*4. Il y a selon lui là-bas des tonnes de pistes et de villages typiques à découvrir. « Du vrai Maroc, alors que les voyageurs vont plutôt dans des zones plus classiques où les routes maintenant goudronnées ont pris le dessus sur la nature et villages « berbères ». Il y en a encore plein finalement et je reste nostalgique du temps d’avant, où l’on partait en 2CV, 4L à l’aveugle sur de nouvelles pistes. »
Le petit mot d’Hicham « Perdez-vous au Maroc, tâtonnez, testez… Il faut oublier toutes ses idées reçues pour apprendre à connaître le pays.»
Sa région préférée : Le Nord du Maroc et toute la côte méditerranéenne.Ce qu’il aime dans son travail : accompagner des groupes. « Découvrir et faire découvrir. »Ce qui rend le Maroc si beau : sa variété de paysages et sa luminosité à différents moments.Son plus beau souvenir : en 2010, repérage à travers la Vallée d’Agoundiz en pleine période de floraison.Un souvenir à ramener : l’amour de la découverte.
Marion
Marion s’est installée au Maroc avec son mari et leurs deux enfants. Ils ont longtemps vécu dans une forêt d’eucalyptus dans la région de Safi avant de s’installer à Marrakech. “Bretonne de coeur et de naissance , je suis mariée à un marocain. Après la naissance de notre second enfant nous avons décidé de venir vivre au Maroc pour gagner en qualité de vie familiale, voir nos enfants grandir et profiter d’un cadre naturel exceptionnel”
Sa région préférée : “En pure bretonne j’ai besoin du flux et de l’océan. Naturellement, mon endroit préféré est Oualidia. Mon petit coin de paradis est la crique de Lalla Fatna entre Safi et le Cap Beddouza. Le sable doré, les falaises, l’immensité …paisible et rude à la fois. Les vagues sont « ma machine à laver » la tête.
Ce qui lui plaît dans son métier : “Le partage et l’échange”
“Travailler pour DEM me permet de découvrir le Maroc autrement, ce qui est une sacrée richesse. J’ai été très touchée par l’extrême gentillesse des personnes avec lesquelles nous travaillons au quotidien ( chauffeur, gérant de riad …). Ma fille de 10 ans le résume bien d’ailleurs : » j’aime voir maman épanouie dans son travail « .
Le souvenir qu’il faut rapporter d’un voyage au Maroc : “Des épices ! même le plus mauvais cuisinier peut rendre une omelette savoureuse grâce au cumin !”
Abdelilah
Pour Abdelilah, le voyage est un peu une histoire de famille. Son oncle tenait une chambre d’hôte à Marrakech. Quand il faisait des études de gestion, il rentrait le soir au Riad et discutait avec les voyageurs de passage. « Cela me permettait de pratiquer la langue. Et au fur et à mesure, je passais de plus en plus de temps et de plaisir à leur expliquer notre culture et nos traditions. » Ce sont ces moments d’échange et de rencontre qui ont décidé Abdelilah à travailler dans le tourisme. « Ce que je préfère dans mon travail, c’est d’être créatif, personnaliser les séjours et faire des voyages vraiment sur-mesure. »
Sa région préférée : Le Haut-Atlas, c’est ma région d’origine. Il y a une sensation de liberté et d’immensité. C’est aussi une région très authentique et généreuse. On marche, on y fait des belles rencontres. Ce qui rend le Maroc si beau : sa diversité, de paysages, de populations, d’artisanat.Un souvenir à ramener : des sourires et des rencontres.
Un mot pour les futurs voyageurs : “Venez sans hésitation, surtout pour les francophones. La communication est plus facile, on peut vraiment rencontrer les gens et discuter avec eux. C’est aussi l’occasion de faire un retour vers le passé et découvrir un autre pan d’histoire.”
NOS GUIDES
Nos guides sont incollables sur le maroc ! leur leitmotiv : vous faire decouvrir et aimer leur pays…
Abderrahim
De son surnom Abdou, a suivi les traces de son oncle, qui a été l’un des premiers à être formés par les guides de Chamonix au centre des guides de haute-montagne de Briançon, orienté par des français de Marrakech qui lui avaient conseillé cette formation. Abderrahim a donc suivi ses pas. «J’avais toujours aimé la montagne, je regardais mon oncle travailler et explorer. J’avais déjà commencé à l’aider et cela me plaisait. J’ai décidé de devenir guide moi aussi, et j’ai été diplômé en 1997 au Maroc. Le centre de formation des guides de montagne avait alors été monté. » Abderrahim créée finalement à son tour le premier bureau des guides de la Vallée de l’Ourika en 2000, sa région natale. Il est également membre fondateur et vice- président de l’association de Tizi N’OUCHEG de son village natal. « Ce qui me rend le plus fier est de représenter mon pays et mon peuple. Et puis c’est dans notre nature. On aime accueillir les gens, on est un peuple tolérant et on aime montrer notre culture et nos valeurs. » Sa région préférée… « Ça dépend quand vous me posez la question ! Si vous me posez la question en mars, ce sera l’anti-Atlas, en mai la Vallée d’ourika ou des Roses, en hiver le désert… Le mot d’Abderrahim pour ses futurs voyageurs «Merhba bikoume » en berbère. Bienvenue au Maroc.
Omar
Omar a commencé par accompagner des guides en montagne et cela lui a donné le goût du métier. Il décide de passer son diplôme de guide de montagne et l’obtient en 2003.
Quand on lui demande pourquoi il aime son métier, il répond naturellement : « On est des montagnards, alors on fait ce que l’on sait faire : la montagne ! » Depuis peu, Omar a l’habitude aussi d’organiser des circuits VTT au Maroc.
«Le grand avantage est que l’on peut voir beaucoup plus de paysages et de lieux différents en VTT. On voit quand même toujours mieux les choses en marchant.»
Ce qui rend le Maroc si beau à visiter « L’accueil des berbères et la diversité des paysages.
D’une vallée à l’autre, on change complètement d’ambiance et de paysages. » Sa région préférée reste les régions de montagnes, le Moyen Atlas et l’Anti-Atlas, et particulièrement la région du Toubkal et la vallée des Roses.
Le mot d’Omar à ses voyageurs « Bienvenus, nous allons vous faire découvrir notre Maroc ! »
Hafida
En 1994, Elle devient l’une des premières femmes guides de haute-montagne du Maroc. Elle ont été jusqu’à 10 guides femmes pour un total de 400 hommes. Elle plaisante souvent « J’ai ouvert la voie », en faisant référence à son long parcours d’escalade et de spéléologie. Titulaire d’un master en tourisme, elle s’apprêtait à rentrer dans la voie classique de l’hôtellerie lorsqu’elle croise le chemin de jeunes Espagnols férus d’aventure et de grands espaces.
L’un d’entre eux monte une agence et charge Hafida de le relayer sur le Maroc. « C’est comme cela que j’ai connu les premiers guides de haute montagne au Maroc : Slimane, un des pionniers et à l’époque président des guides, Rachid Berrada, Serge Canu à ce moment-là directeur de la succursale UCPA, et Fabrice Cuzin, l’un des grands connaisseurs de la flore et la faune marocaine. Ce sont tous ces professionnels qui m’ont poussée à devenir guide de montagne»
« Pour moi monter, grimper, c’est un défi. L’appel des sommets. C’est aussi une sorte de déclaration à mon père qui nous a souvent rabaissées mes sœurs et moi pour ne pas avoir eu de défis. C’est ma façon à moi de lui dire : on peut être une fille et atteindre les sommets ».
En 1995, elle lance le premier trek de randonnée pour les familles et à 40 ans, elle grimpe la cascade de glace dans les Hautes Alpes. Aujourd’hui, elle demeure l’aventurière marocaine respectée et reconnue par ses pairs.
« Je souhaite désormais changer l’expérience du trek en une aventure plus complète en incluant une dimension culturelle. Par exemple, mes derniers circuits alternent des jours de randonnée avec de la culture, de l’immersion, de l’artisanat. Je continue à accompagner des groupes de randonneurs et aventuriers, mais j’ai aussi envie de donner l’envie aux autres de faire de la montagne. Par exemple, à Agafay, j’aime proposer de belles sorties de 2/3h que l’on peut combiner avec le confort de l’Eco Lodge. Au vu de ma renommée et de ma passion pour mon travail, j’ai envie de donner et de transmettre. Ce qui rend le pays beau : les Marocains, leur accueil et leur générosité spontanée. Sa localisation également. Le pays est situé à l’Extrême Est du continent africain. De l’Atlantique à la Méditerranée en passant par le Sahara, le Toubkal, le plus haut sommet d’Afrique du Nord, les cités impériales, les plages, ce sont tous ces extrêmes qui le rendent si diversifié et si surprenant.»
Ce qu’elle préfère dans son travail : Rendre les gens heureux. « Faire rire quelqu’un est facile, les rendre vraiment heureux, c’est beaucoup plus complexe. C’est ce que j’arrive à faire en les faisant voyager, je donne beaucoup de moi et les gens le ressentent. Certains reviennent pour la 10 ou 15ème année ! .»
Khalifa
Je suis né dans le sud du Maroc, au bout de la vallée de Drâa, et des dunes de sables dorées de la région de M’hamid.
Le désert est ma terre natale, depuis tout petit passionné par la marche et la découverte de grands étendus désertiques, je vous ferais découvrir la beauté du sud Marocain, sa palmeraie, son désert de pierre et de sable, ses habitants et leur mode de vie …
Pour votre séjour au Maroc, je vous recommande le désert de septembre à Mai.
Le désert est une expérience qui se vit et se raconte, venez et n’hésitez pas à la partager avec moi.
Rachid
Marrakchi de coeur et de sang, Rachid exerce dans le domaine du tourisme depuis une vingtaine d’années. L’hôtellerie, puis très vite, le transport touristique, l’ont amené à parfaire sa connaissance du Royaume. Il a ouvert sa propre compagnie de minibus et accompagné les voyageurs à travers toutes les régions du Maroc.
“ Il y a un an, le gouvernement a organisé un concours afin de donner l’opportunité aux plus expérimentés et méritants, de devenir Guides Nationaux. J’ai la chance d’avoir fait partie des lauréats, cela me permet d’évoluer dans mon métier”.
Sa région préférée : “Marrakech évidemment puisque c’est ma ville. Mais les autres Villes Impériales aussi – Fes, Rabat..- et Chefchaouen, la belle bleue. Chaque ville a son caractère, sa personnalité propre, et avec la “Vision 2020” de Mohammed VI (objectif 20 millions de touristes au Maroc), d’autres destinations se profilent. Avant, on connaissait les classiques, comme Agadir, Marrakech, les villes “cartes postales”. Maintenant, le tourisme évolue et s’étend, les voyageurs connaissent le Maroc, ils reviennent souvent, ils veulent aller plus loin. Je les accompagne davantage dans des coins reculés, très au Sud de la côte Atlantique, ou dans des régions rurales qui n’intéressaient pas les touristes auparavant.
Nous allons vers un un tourisme plus authentique et culturel, vers une exploration du Maroc, plus qu’une simple visite.”
Un souvenir à rapporter ? “Beaucoup de choses ! Mais là je pense à l’huile d’argan, ou bien même à l’huile de figue de Barbarie, rare et extrêmement chère, pour ceux qui ont les moyens bien sûr”.
Chakib
“Je suis Fassi. Mais ici, cela a une signification bien particulière : je suis non seulement né à Fes, mais ma famille est originaire de Fes. Je porte un des noms de famille dont les racines se situent dans l’Andalousie du 13ème siècle ! J’ai grandi dans la médina de Fes, et je suis Guide National depuis 33 ans. Une longue carrière qui m’a permis de rencontrer des gens extraordinaires en parcourant le Royaume.
Mon travail m’a permis de rencontrer des personnalités très importantes ; j’ai aussi participé à une émission avec Gérard Depardieu sur la cuisine fassie. Et finalement c’est à Fes que j’exerce mon métier aujourd’hui, je peux profiter de ma ville pour laquelle j’ai une véritable passion, et de ma famille. ”
Comment faites-vous découvrir votre ville ? : “Je raconte de vraies histoires aux voyageurs, des histoires de famille, et bien sûr, je leur montre toutes les facettes de Fes qui est une ville culturelle par excellence. Notre tannerie est une des plus grandes et plus anciennes au monde, elle date du Moyen Age ! Mais la céramique et la mosaïque sont également très réputés, notamment pour notre couleur bleu cobalt. Cuir, tapis et antiquités… Tout l’artisanat marocain est fièrement représenté dans la médina de Fes. Sans oublier notre cuisine, nos recettes de tagines sucrés-salés, ou encore la fameuse pastilla au pigeon… Je vous conseille de surveiller le calendrier de nos festivals afin de découvrir les Musiques Sacrées ou bien le festival d’Art culinaire. Et je vous accompagnerai dans les méandres de notre authentique médina.”
Ahmed
Ahmed est diplômé du Centre de Formation des Guides de Montagne dans la vallée d’Ait Bougmez. Cela fait plus de 20 ans qu’il exerce son métier avec passion. L’Atlas est son terrain de jeux : Haut Atlas, Anti Atlas, Atlas occidental, oriental… En ski, VTT, à pied… Il a atteint le sommet du Toubkal plus de 400 fois !
Sa région préférée : “je connais bien le Maroc, du Sud du désert à la côte Atlantique, l’Atlas bien sûr que j’arpente toute l’année. Je n’ai pas de région favorite car chacune a son charme, sa personnalité. Même d’une saison à l’autre l’ascension du Toubkal nous projette dans des ambiances différentes : paysages enneigés l’hiver – plus sportif – et lunaire l’été – plus accessible pour les marcheurs amateurs.”
Le souvenir à rapporter du Maroc : “le meilleur souvenir ne s’achète pas. La valeur de l’argent ne compte pas. Nous sommes si heureux d’accueillir des gens qui ont envie de venir dans notre pays. Le meilleur souvenir c’est celui qui restera dans leur mémoire, c’est ce qui fait la beauté de notre métier. Si je prends l’exemple du Toubkal, je m’efforce de faire atteindre le sommet au plus grand nombre, en prenant le temps d’accompagner ceux qui ont des difficultés physiques, en m’adaptant au niveau de chacun. Leur plus beau souvenir sera celui d’avoir atteint le sommet.”
Hakima
Originaire des montagnes berbères, Hakima a étudié l’ethnologie, ce qui lui confère un regard particulier sur son pays et teinte son métier d’une couleur unique. “Je suis guide depuis une vingtaine d’années à Essaouira, mais je parcours tout le Maroc. Ce qui me plaît dans mon métier, c’est l’échange et le partage avec les voyageurs, je veux leur apprendre le plus de choses possible sur mon pays, c’est pourquoi je m’informe sans cesse, je lis beaucoup, je me donne l’obligation d’être à jour, ce qui me demande un grand investissement personnel.”
Sa région préférée : “Après Essaouira, c’est la région de Meknès / Khemisset et ses trésors archéologiques. Tout le monde connaît le site antique romain de Volubilis, par contre, non loin de là, la grotte qui contient les plus anciennes traces de l’humanité au Maroc, est elle méconnue. C’est une région magnifique que j’aime faire découvrir à ceux qui ont le temps d’explorer toutes les richesses de notre beau pays.”
Quel souvenir rapporter du Maroc : “ce n’est pas un souvenir matériel. C’est l’envie de revenir. Je me suis donné un challenge : chaque voyageur que j’accompagne doit repartir avec l’envie de revenir ! Je leur transmets pour cela tout mon savoir dans les domaines de l’art, de l’histoire, de la géographie et des ethnies. Je dois les convaincre qu’il y a tant de choses à voir et à apprendre qu’un seul voyage ne suffit pas.”